11 articles trouvés pour (sujet principal Kellner Manuel)
1 . ERNEST MANDEL (1923-1995)
L'œuvre d’Ernest Mandel, un héritage important pour le combat révolutionnaire
Manuel Kellner* juillet 2020 n°676
Décédé il y a un quart de siècle, Ernest Mandel (1923-1995) nous a laissé une importante oeuvre théorique. Elle est incontournable pour quiconque veut faire le bilan du XXe siècle et contribuer à l'élaboration de perspectives révolutionnaires pour le XXIe siècle.
2 . ALLEMAGNE
Le projet de Wagenknecht, un nouveau mouvement ?
Manuel Kellner* juillet-août 2018 n°653-654
Porte-parole au Bundestag (avec Dietmar Bartsch) du parti Die Linke (La Gauche), Sahra Wagenknecht vient de la gauche anticapitaliste du parti et a longtemps été sa représentante la plus populaire. Avec son époux Oskar Lafontaine – tous les deux très médiatisés – ils animent depuis un certain temps un regroupement informel « Team Sahra », auquel on peut adhérer par internet et qui argumente pour la création d’un nouveau mouvement politique à l’image de La France insoumise (FI) de Jean-Luc Mélenchon. Ils annoncent que ce mouvement sera lancé en septembre 2018, non en concurrence avec le parti Die Linke, mais pour faire pression sur les autres partis dans le sens d’une politique plus sociale.
3 . ALLEMAGNE
Succès de l’extrême droite en Mecklembourg-Poméranie occidentale et à Berlin
Manuel Kellner * septembre-novembre 2016 n°631-632
Les deux élections régionales – 4 septembre en Mecklenburg-Vorpommern et 18 septembre dans le Land de Berlin – ont été marquées par le succès électoral de l’Alternative für Deutschland (AfD, Alternative pour l’Allemagne). L’AfD siège maintenant dans les assemblées de dix des seize Länder. Ces élections mettent également à jour l’érosion très marquée des partis de gouvernement, la CDU et SPD. Pour Die Linke, le bilan est nuancé : une défaite électorale flagrante à Mecklenburg-Vorpommern, mais un résultat plus réconfortant à Berlin.
4 . ALLEMAGNE
La « Grande Coalition » CDU SPD et les perspectives d’une politique de gauche
Manuel Kellner * décembre 2013 n°dernieres
La CDU et la CSU (son parti sœur en Bavière) ont conclu un accord avec le SPD pour former une coalition gouvernementale. En matière d’écologie, le texte projette un frein au développement des énergies alternatives. Le salaire minimum serait une avancée s'il n'était pas si faible et lointain. Les concessions sur les retraites sont minimes.
5 . ALLEMAGNE
Merkel triomphe, le FDP coule… et après ?
Manuel Kellner * octobre 2013 n°598
Les partis chrétiens-démocrates conservateurs CDU/CSU et la chancelière Angela Merkel sont les gagnants des élections fédérales en Allemagne. Avec 41,5 % des voix, ils ont obtenu 7,7 % de plus que lors des élections fédérales en 2009. Comment l’expliquer ?
6 . ALLEMAGNE
" Die Linke ", un nouveau parti entre espérance et adaptation
Manuel Kellner juin-juillet 2007 n°528-529
Par Manuel Kellner. Manuel Kellner est membre de la coordination de la isl (gauche socialiste internationale), une des deux fractions publiques de la IVe Internationale en Allemagne, et membre du nouveau parti Die Linke (La Gauche) à Cologne. Il est aussi directeur pédagogique de l’association de formation SALZ e.V. opérant au niveau fédéral, reconnue comme " proche du WASG " en Rhénanie du Nord-Westphalie, qui demande actuellement la reconnaissance officielle par le nouveau parti Die Linke.
7 . ALLEMAGNE
Discours d’Oskar Lafontaine* : " La liberté par le socialisme "
Oscar Lafontaine juin-juillet 2007 n°528-529
Au congrès de fondation de Die Linke (La Gauche) à Berlin, deux présidents du nouveau parti ont été élu : Lothar Byski de la Linkspartei.PDS avec 83,6 % des voix des délégués, et Oskar Lafontaine de la WASG avec 87,9 %. Ce dernier, politicien expérimenté largement médiatisé, orateur de talent, peut être considéré comme le porte-parole numéro un du nouveau parti. Né en 1943 à Saarlouis, Lafontaine est devenu membre du SPD en 1966. Il était ministre-président de la Sarre et membre dirigeant du SPD au niveau fédéral pendant longtemps. Entré comme ministre des finances dans le gouvernement Schröder en octobre 1998, président du SPD depuis 1995, il résigne spectaculairement ses deux postes en mars 1999 sans explication publique. Avant, la presse européenne liée au grand capital l’avait nommé " l’homme le plus dangereux d’Europe " parce qu’il plaidait pour un contrôle des marchés financiers internationaux et d’autres mesures néokeynésiennes. Quelques mois après, Lafontaine explique ses motifs dans son livre " Das Herz schlägt links " (Le Coeur bat à gauche), où il explique non sans raison — et non sans embellissement des années sous sa direction — que le SPD sous Gerhard Schröder s’est éloigné des principes sociaux-démocrates au profit d’une adaptation au néolibéralisme et de l’engagement dans des guerres contraires au droit international. Après la première petite percée électorale de la WASG en 2005 à l’occasion des élections régionales en Rhénanie du Nord-Westphalie, Oskar Lafontaine a rejoint ce parti, devenant immédiatement sa vedette et militant pour une fusion avec le Linkspartei.PDS. Nous reproduisons ci-dessous son discours au congrès de fondation du parti Die Linke, qui est intéressant à plusieurs égards. Outre sa rhétorique radicale anticapitaliste et antimilitariste, Lafontaine semble se placer à gauche dans le cadre du Parti de la Gauche Européenne, critiquant de façon prudente mais audible celles et ceux qui font aujourd’hui des politiques de co-gouvernance, car ce n’est pas conforme avec la crédibilité d’un parti qui veut défendre les intérêts de celles et ceux d’en bas et qui veut lutter contre les guerres interventionnistes. En même temps, il faut garder à l’esprit qu’Oskar Lafontaine vise lui-même à une politique de co-gouvernance (mais plus tard, dans d’autres circonstances) et qu’il reste un social-démocrate du style " réformiste " des années 1970 : Il ne pense aucunement à mettre en question le système capitaliste, mais il cherche une place dans ce système pour un parti capable d’articuler les sentiments des masses exploitées et piétinées par ce même système. Manuel Kellner
8 . ALLEMAGNE
Manuel Kellner juin 2006 n°518
Manuel Kellner est membre de la coordination de l'internationale sozialistische linke (isl, gauche socialiste internationale), une des deux fractions publiques de la IVe Internationale en Allemagne (l'autre étant le Revolutionär Sozialistischer Bund — RSB, Ligue socialiste révolutionnaire).
9 . ALLEMAGNE
Vers un nouveau parti de gauche émancipateur
Manuel Kellner octobre 2005 n°510
Manuel Kellner est collaborateur du mensuel SoZ-Sozialistische Zeitung et membre de la Coordination de l’internationale sozialistische linke (isl, gauche socialiste internationale, une des deux fractions publiques de la section allemande de la IVe Internationale). Cette contribution présente un aperçu de la signification des résultats des élections fédérales du 18 septembre, et, en même temps, fournit des informations sur l’orientation des membres de l’isl dans le processus de construction d’un nouveau parti de gauche large à base de masse. Il s’agit bien entendu d’une orientation en débat, un débat qui se poursuivra aux assemblées des membres de l’isl au niveau régional de Rhénanie-Westphalie le 15 octobre et au niveau fédéral au début du mois de décembre 2005. L’auteur, qui est partie prenante de ce débat, porte la responsabilité pour la formulation présente.
10 . ALLEMAGNE
Crise du SPD et nouveau « Parti de Gauche »
Manuel Kellner juillet-août 2005 n°507-508
Manuel Kellner est collaborateur du SoZ-Sozialistische Zeitung et membre de la coordination de la isl (gauche socialiste internationale, une des deux fractions publiques de la section allemande de la IVe Internationale l’autre étant la RSB, Ligue socialiste révolutionnaire)
11 . ALLEMAGNE
Embryon d’une alternative politique au néolibéralisme :
Manuel Kellner janvier-février 2005 n°501-502
Manuel Kellner est membre de l’internationale sozialistische linke (isl, gauche socialiste internationale, une des deux fractions publiques de la section allemande de la IVe Internationale) et collaborateur du mensuel SoZ – Sozialistische Zeitung. Nous reprenons cet article de la revue madrilène Viento Sur n° 78, de décembre 2004 www.vientosur.info